Pannes mécaniques : êtes-vous concerné par les 10 pannes actuelles ?

Pannes mécaniques : êtes-vous concerné par les 10 pannes actuelles ?

Les pannes mécaniques font partie du quotidien des voitures d’aujourd’hui. Voici les 10 défaillances les plus courantes sur les modèles actuels.

Les pannes en série, c’est une histoire aussi vieille que l’automobile elle-même. Soucis de conception ou de fabrication, problèmes mécaniques ou électroniques vont et viennent au gré des améliorations, des rappels ou des remplacements. Voici les 10 défaillances les plus courantes actuellement.

Les pannes et casses mécaniques

La courroie de distribution du 1.2 PureTech
Ce trois cylindres du groupe PSA (Stellantis) souffre de sa courroie de distribution immergée dans le carter d’huile : au fil du temps, cette courroie se délite et de micro-morceaux viennent obstruer la crépine du circuit de lubrification. Avec, à terme, une probable casse du moteur. Le principal signe avant-coureur de ce souci de courroie est un allumage du témoin, alors que le niveau d’huile est bon ou encore une hausse importante de sa consommation. En général, ces symptômes apparaissent vers 60.000 km.

Les capteurs de NOx
Intégrés au système de dépollution, ils calculent le taux d’oxyde d’azote se trouvant dans les gaz d’échappement. Leur principale cause de défaillance est l’encrassement, survenant dès 50.000 km, le plus souvent sur des moteurs qui effectuent fréquemment de courts déplacements et/ou des trajets urbains. N’attendez pas qu’un message d’alerte “antipollution” s’affiche au tableau de bord, une consommation de carburant en hausse et une réduction de la puissance doivent vous mettre la puce à l’oreille. Parmi les blocs les plus touchés, on relève le 1.5 BlueHDi (Citroën, Opel, Peugeot…), les 2.0 Jaguar/Land Rover et Mercedes, ainsi que le 1.7 CRDi chez Hyundai et Kia.

Les chaînes de distribution
Une chaîne métallique de distribution n’est pas à l’abri des pépins, souvent dus à un problème de galet tendeur. Elle prend alors un peu de jeu et finit par se rompre… et le moteur avec. Stellantis est largement concerné avec son 1.5 BlueHDi : la chaîne reliant les arbres à cames est d’une faiblesse chronique. Méfiance, dès 50.000 km, si elle “claque”. On retrouve le même souci sur les 2.0 Ingenium de Jaguar/Land Rover, qui possèdent deux chaînes de distribution. Les cas les plus précoces se manifestent aux environs de 70.000 km, mais le groupe britannique peine à accorder des prises en charge.

Les embrayages et volant moteur
Sur certains modèles à boîte manuelle (Dacia Sandero et Duster essence, Suzuki Celerio et Swift, Volkswagen Polo…) ou “automatique” (DCT chez Hyundai et Kia), les embrayages ont été sous-dimensionnés ou sont victimes de l’usure prématurée du volant moteur (sur les boîtes mécaniques uniquement). Si vous avez l’impression que la voiture patine lors des changements de rapport, la défaillance n’est plus très loin. Parfois, elle surgit dès 30.000 km.

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Source : Auto Plus

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