Périphérique à 50 km/h : l’opposition ne s’est pas faite attendre

Alors qu’Anne Hidalgo a annoncé le passage du périphérique parisien à 50 km/h, les associations et politiques s’y opposent.
EN BREF
- Anne Hidalgo prévoit de réduire la vitesse sur le périphérique parisien à 50 km/h dans les prochains mois.
- Cette décision suscite de vives critiques des Parisiens et des associations de conducteurs, dénonçant un manque de transparence et une absence d’étude d’impact publique.
- Valérie Pécresse et 40 millions d’automobilistes s’opposent fermement à ce projet, craignant une aggravation de la congestion et de la pollution.
On le sait, depuis des années Anne Hidalgo a une obsession pour la vitesse sur le périphérique parisien.
Le périphérique bientôt à 50 km/h
Après avoir limité cette dernière à 70 km/h, ce qui n’avait pas manqué de provoquer la grogne des automobilistes, la maire de Paris veut désormais aller encore plus loin. Ainsi, en plus de réserver une voie au covoiturage, l’édile prévoit d’abaisser la limitation à seulement 50 km/h au cours des prochains mois. Or, cela ne plaît pas du tout aux parisiens, ni aux associations de défense des conducteurs. Ainsi, depuis l’annonce de ce projet, les critiques fusent de toutes parts notamment sur X (anciennement Twitter), où les voix dissidentes dénoncent une décision jugée « irresponsable » et un « manque total de respect pour l’avis des Parisiens ». L’une des principales critiques adressées à la mairie de Paris concerne l’absence d’une étude d’impact publique sur les conséquences d’une telle décision. Les opposants s’indignent de l’absence de transparence, soulignant qu’aucun document n’a été rendu public sur les effets que pourrait avoir la réduction de la vitesse à 50 km/h.
Source : Auto Plus